L'Europe serait-elle libérée de pesanteurs qui lui avaient figé les neurones ?
Cela a commencé par une libération de la parole du citoyen qui s'est emparé du referendum pour débattre et s'enflammer sur l'Europe telle qu'il la voyait, et surtout pas tel qu'on la lui proposait.
Un vote cataclysmique plus tard, les européens se réunissent pour discuter budget, sujet qui d'habitude n'intéresse que les journalistes férus de moules-frites, et c'est à nouveau l'effervescence.
Notre Don Quichotte national se rend au sommet en espérant se draper d'une nouvelle virginité avec une attaque sur la pingrerie tachérienne de la perfide Albion. Mais, raté, Tony a remplacé Maggie, et c'est une autre paire de Manche que d'attirer l'ire du bon peuple sur le sémillant roastbeef.
Sortie héroïque de Junker qui, malgré le prompt renfort des petits nouveaux trouvant enfin l'occasion de peser pleinement sur une décision, n'arrive pas à sauver, ni le chèque anglais, ni le chek français.
Junker, en vrai leader, se tourne vers le parlement européen et se taille un succès réconfortant. Damned, Tony reprenant l'initiative, retourne ce même parlement, et dans un "new deal" triomphant, semble reprendre une longueur d'avance.
Il faut bien avouer que malgré le courage de Junker, l'opposition au tonique Tony est un peu absente. Laissera-t-on l'arrière anglais partir de sa ligne des 22 et aller jusqu'à Athènes pour marquer un essai décisif ? Un coq se lèvera-t-il pour construire du nouveau et plaquer l'impudent ?
Eh oui, l'Europe politique que chacun rêvait de construire, cette Europe frissonne à cause, ou grâce, à l'opportunisme anglais utilisant à plein le refus au referendum.
Finalement, pour le moment, c'est le seul qui ait entendu les français !
Cela a commencé par une libération de la parole du citoyen qui s'est emparé du referendum pour débattre et s'enflammer sur l'Europe telle qu'il la voyait, et surtout pas tel qu'on la lui proposait.
Un vote cataclysmique plus tard, les européens se réunissent pour discuter budget, sujet qui d'habitude n'intéresse que les journalistes férus de moules-frites, et c'est à nouveau l'effervescence.
Notre Don Quichotte national se rend au sommet en espérant se draper d'une nouvelle virginité avec une attaque sur la pingrerie tachérienne de la perfide Albion. Mais, raté, Tony a remplacé Maggie, et c'est une autre paire de Manche que d'attirer l'ire du bon peuple sur le sémillant roastbeef.
Sortie héroïque de Junker qui, malgré le prompt renfort des petits nouveaux trouvant enfin l'occasion de peser pleinement sur une décision, n'arrive pas à sauver, ni le chèque anglais, ni le chek français.
Junker, en vrai leader, se tourne vers le parlement européen et se taille un succès réconfortant. Damned, Tony reprenant l'initiative, retourne ce même parlement, et dans un "new deal" triomphant, semble reprendre une longueur d'avance.
Il faut bien avouer que malgré le courage de Junker, l'opposition au tonique Tony est un peu absente. Laissera-t-on l'arrière anglais partir de sa ligne des 22 et aller jusqu'à Athènes pour marquer un essai décisif ? Un coq se lèvera-t-il pour construire du nouveau et plaquer l'impudent ?
Eh oui, l'Europe politique que chacun rêvait de construire, cette Europe frissonne à cause, ou grâce, à l'opportunisme anglais utilisant à plein le refus au referendum.
Finalement, pour le moment, c'est le seul qui ait entendu les français !